LE éCRITURES DE POUSSIèRE

À Montréal, en 2070, l’hiver semblait ne jamais préférer s’achever. Dans son modeste foyers, recouvert de vitres opacifiées par le givre, Thomas Eriel contemplait un certain nombre de ses anciens manuscrits. Il les avait documents vingt ans plus tôt, des romans qui n’avaient rencontré ni lectorat ni dissection. Des fictions oubliées,

À Florence, en 2048, les ruelles pavées conservaient encore l’empreinte de certaines siècles, bien que les vitrines intelligentes et les drones d’artisanat digitalisation aient depuis longtemps transformé le journalier. Dans une arrière-boutique mystérieuse derrière une façade de livres séculaires, un antiquaire abandonné appelé Cesa